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ville de paris - Page 10

  • VANVES PARTICIPE AU CARREFOUR DES MOBILITES SUR LE DEVENIR DU BOULEVARD PERIPHERIQUE

    Le Maire ou un représentant de la municipalité de Vanves a dû participer, la semaine dernière, au lancement du « Carrefour des Mobilités »  qui est espace de dialogue sur les transformations du périphérique parisien. Annoncé par la Maire de Paris à l'été 2022, il a pour objectif de créer un espace de dialogue entre les différentes parties prenantes pour co-construire les futures et nécessaires transformations du périphérique afin de continuer la lutte contre la pollution de l'air, réduire la circulation automobile et végétaliser cet ouvrage urbain. Plus de 555 200 personnes vivent à proximité du périphérique, dont 40 % vivent dans des logements sociaux.

    La pollution aux particules y est 6 fois supérieure aux seuils recommandés par l'OMS et 90 % des sites testés dépassent les limites sonores fixées par l'Union européenne. D’ailleurs une étude rendu publique par AirParif le même jour, indiquait une plus forte concentration des particules ultrafines aux abords des axes routiers. De la taille d’un virus ou d’une molécule d’ADN, elles sont actuellement «les plus petites (100 nanométres) que l’on puisse mesurer et observer» précise Airparif. Son étude indique que les niveaux de PUF mesurés varient largement d’un axe routier à l’autre : de 16.600 particules/cm3 mesurées en moyenne à proximité d’un boulevard parisien à 53.300 particules/cm3 mesurées à proximité d’une route nationale, en passant par 23.200 particules/cm3 mesurées à proximité du périphérique parisien. L'enjeu de transformation de cette infrastructure est donc majeur.

    «Végétalisation, réduction de la circulation, lutte contre l'auto-solisme, soutien au covoiturage notamment, sont autant d'actions majeures à mener pour la transformation du périphérique d'ici à 2030» préconise la ville de Paris. «La transformation du périphérique est une étape essentielle de l'adaptation de Paris pour répondre à l'urgence climatique et écologique. Pour aller plus loin dans nos efforts de réduction du trafic routier et de lutte contre la pollution de l'air, nous avons besoin d'agir tous ensemble, à l'échelle régionale, afin de réussir notre pari commun qu'est l'avènement d'un avant et d'un après Jeux Olympiques : c'est pourquoi nous ouvrons aujourd'hui la concertation avec le Carrefour des mobilités» a expliqué Anne Hidalgo, Maire de Paris

  • LA VILLE DE VANVES AURA-T-ELLE SON PLAN SOBRIETE

    Pas un jour sans qu’une collectivité locale comme Paris, la Région Ile de France, un grande entreprises publique, comme la RATP,  un établissement Public comme Paris la Défense, annonce un plan sobriété énergétique. Le maire de Vanves fait actuellement plancher son équipe et ses services. Peut être en dira-t-il un mot lors du conseil municipal du 28 Septembre. Certains à Vanves ont pris les devants comme l’agence immobilière Jouanneteau dont les lumières s’éteignent à 22H. Les riverains du Parc des expositions de la Porte de Versailles souhaiteraient qu’il éteigne ses lumière à 22H alors qu’il reste allumé toute la nuit, pratiquement toute l’année.  

    D’autant plus qu’à Paris, depuis Jeudi soir, les illuminations des monuments parisiens ont été éteint à 22H, comme la Tour Saint Jacques ou des Théâtres et musées comme le Chatelet, Canarvalet etc…avec même la tour Eiffel mais à 23H45. La mairie a prévue de le demander à l’Etat pour les monuments nationaux, de rencontrer tous les acteurs économiques, et de la société civile  de la capitale , car 96% des consommations énergétiques ne dépendent pas directement des consommations des services publics municipaux. Le secteur tertiaire est responsable de plus de la moitié des consommations du territoire parisien. Les consommations du territoire se répartissent entre les copropriétés privées (40%), les bureaux (16%), les commerces (10%), le parc social (9%), l’Etat (7%) et les hôtels, cafés et restaurants (6%). «Il est donc impératif que les acteurs publics comme privés se mobilisent » explique-t-elle. Ainsi, dans chaque arrondissement une communication à destination des commerçants sera engagée autour des règles qui les concernent en matière de sobriété énergétique (interdiction de l’éclairage nocturne, des terrasses chauffées, des portes ouvertes).

    Parmi les mesures prises par Paris comme par l’ensemble des collectivités, et peut être à Vanves,  la baisse à 19° de la température dans leurs bâtiments ( administratifs, écoles, gymnases…) hors Ehpad et créches,   Mais aussi,  l’eau des leurs piscines municipales (26°), 19° dans les collèges pour les départements, les lycées pour la Région...  mais beaucoup  de maires refusent en revanche la fin de l'éclairage des rues pour une raison «de sécurité». Quant aux ponts de la capitale, la fin de l'illumination ornementale pourra se faire si elle est compatible avec les impératifs de sécurité pour la navigation fluviale. Ainsi, à Paris, l'objectif de ce «plan d'urgence pour la sobriété est de faire baisser encore la consommation de 10%  de la Ville, soit l'équivalent de la consommation d'énergie de 226 écoles alors que les factures de la ville ont grimpé de 110% pour l’électricité et de 34% pour le gaz, faisant anticiper un surcoût de 35 M€ par an» a indiqué Anne Hidalgo.

    Dans une ville comme Vanves, Bertrand Voisine Maire adjoint aux Finances avait donné une idée des premières répercussions de la guerre en Ukraine, de la hausse ou du manque de matières premières lors du conseil Municipal du 8 Juin dernier : «Ce phénomène qui cumule hausse des prix courants, pénurie de matière première, risque de crise sur l’énergie et les produits alimentaires est inquiétant et nous sommes certainement loin d’en avoir subi tous les effets. Aux dires des experts et des prévisionnistes, le phénomène d’inflation devrait durer au moins jusqu’au dernier trimestre 2023. En l’absence de toutes perspectives sur la durée de la guerre Russo-Ukrainienne, on peut toutefois craindre que ces prévisions soient très aléatoires. Pour le moment, les conséquences de la crise n’ont pas déstabilisé notre gestion mais nous anticipons d’ores et déjà plusieurs phénomènes qui se manifesteront certainement dès le deuxième semestre 2022» avait-il déclaré en donnant quelques chiffres :+ 42% sur le budget électricité, + 21% pour les trois à quatre premiers mois de l’année 2022 par rapport à 2021. «Au vu de ces éléments, il est envisagé pour la consommation d’électricité : Une campagne de communication en interne pour adopter les bons gestes en matière de consommation énergétique dans les différents bâtiments de la Ville (limitation du chauffage à une certaine température notamment)» indiquait il en donnant quelques exemples de  la hausse du prix  de certains produits, suite à des pénuries d’approvisionnement (bâtiment, travaux publics, métallurgie, transports, hygiène etc : + 25% Sur la ouate,, 70% sur l’acier, + 35% sur le bois.

  • STATIONNEMENT PAYANT POUR LES 2 ROUES A PARIS MAIS PAS A VANVES…POUR L’INSTANT

    Les vanvéens utilisateurs de scooters et de motos devront payer maintenant pour se garer s’ils vont à Paris. Comme ils ne sont pas résident le tarif sera de 2 à 3 euros de l’heure selon le quartier et jusqu’à 37,50 euros par jour (alors les résidents pourront bénéficier d'un abonnement à 22,50 euros par an plus 0,75 centime d’euros par jour). Seuls les scooters électriques, à hydrogène, roulant au gaz naturel et hybrides rechargeables, sont en revanche exonérés. Ils pourront continuer à stationner gratuitement à condition d’avoir souscrit à l’offre « véhicule basse émission » (VBE). 

    «Une partie des habitants de Paris nous le demande depuis extrêmement longtemps» explique David Belliard (EELV) adjoint au maire de Paris  chargé des transports, sur France Infos, ajoutant «vouloir lutter contre la pollution de l'air et les nuisances sonores». Mais cette décision qui entre en vigueur demain a suscité quelques réactions hostiles notamment de la Fédération des motards en colère qui rappelle qu’un deux-roues motorisé n’est pas une voiture et que c’est encore les habitants de banlieue qu’on va taxer le plus. « Derrière un adepte du scooter ou un motard, il y a d’anciens automobilistes qui se sont mis au deux-roues. Si on commence à enlever les avantages au scooter, ces gens-là vont reprendre leur voiture», croit savoir Jean-Marc Belotti, son coordinateur qui insiste sur le fait que «les deux-roues motorisés permettent de fluidifier la circulation. Quant aux scooters électriques, les écolos voudraient nous faire quoi que c’est vert. C’est vert sur place mais ailleurs c’est une catastrophe écologique»

    La ville de Paris n’est pas la seule à l’avoir institué. Charenton  et Vincennes (94) ont mis déjà en place depuis longtemps le stationnement payant des deux-roues motorisés, pour lutter contre le stationnement anarchique et illicite,  inspirées d’autres villes européennes comme Londres, Rome.  Pour l’instant à Vanves, ce n’est pas le cas. Mais d’autres villes de la région parisienne s’interrogent, comme Montreuil, en Seine-Saint-Denis, dont les élus parlent d’un projet en cours. «Notre objectif, c'est d'aller vers un Paris sans diesel, puis un Paris sans moteur thermique. Les collectivités comme Paris sont très en avance parce que c'est nous qui pâtissons le plus de la pollution de l'ai